Acquisition des locaux de la CPAM au Conseil municipal du 6 février 2020

La délibérationn°9  porte sur l’acquisition des locaux de bureaux de la Caisse Primaire d’Assurances Maladie (CPAM). Oui il manque du foncier et ceci d’autant plus que durant votre mandature vous vous êtes séparés de bâtiments pour des activités commerciales.


Oui les services publics ont presque tous quitté le bâtiment et la ville.


Oui il ne faut pas laisser de tels bâtiments vides surtout aussi bien situés et il faut saisir les opportunités.
Oui en commission d’urbanisme, il y a eu des questions sur la destination future de ces locaux, mais pas de réponse claire, même si mes collègues ont émis des idées, j’ai entendu parler de galerie marchande à côté de moi..
Mais vous nous demandez de signer un chèque en blanc, acheter pourquoi faire, qui nous dit qu’après ce ne sont pas des activités commerciales qui seront sur ces m2 qui étaient au départ dédiées au service du public. C’est pourquoi, je souhaite que cette surface soit destinée dans le futur à une activité ou un service public tourné vers les sévriens et sévriennes. Quand j’ai posé tout à l’heure la question sur l’affectation du budget, vous m’avez répondu immobilisation sans me donner l’affectation analytique., je me doute bien que c’était une immobilisation et pas une dépense de fonctionnement. Vous ne répondez pas sur son affectation future.


Beaucoup d’entre vous trouvent ce bâtiment hideux, méfiez-vous dans quelques années, on nous dira que ce bâtiment représente l’architecture des 30 glorieuses et qu’il a un intérêt patrimonial, le regard change avec le temps comme il a pu changer sur les bâtiments municipaux de la ville de Boulogne.
La réponse est aussi floue qu’en commission, rappel c’est une dépense de 700 000 €, vous avez pu constater dans le budget la fluctuation sur le projet du centre-ville très loin de ce qui avait été présenté aux sévrien.nes au SEL. Les Elus EELV et PS votent pour car cela fait de la réserve foncière qu’il faudra savoir bien utiliser et affecter.

 

Pour lire l'intervention de Catherine Candelier

Pour lire la délibération

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