J’ai fait sûrement comme certains d’entre vous une recherche sur airbnb, pour avoir une idée du type de logements proposés je me suis rendue compte qu’il n’y avait que très peu de chambres privées offertes qui se rapprochent des chambres d’hôtes mais essentiellement des logements.
Certes nous ne sommes pas dans le cas de villes comme Barcelone ou Paris où des quartiers entiers sont occupés par des logements airbnb ce qui a des répercussions sur la vie des quartiers allant jusqu’à la fermeture de classes. Comme le rapport de présentation le décrit, dans des villes de GPSO où le marché immobilier est tendu, le développement de l’offre de location meublée de courte durée tend à faire diminuer le nombre de logements disponibles.

Prenons un exemple, pour une ville comme Sèvres, la prolifération de logements airbnb peut avoir des répercussions sur le logement étudiant. Sèvres est une ville étudiante avec ses classes prépas, ses classes spécialisées, l’école du design. Ces étudiants cherchent des logements même si des résidences pour étudiants ont été créées. L’offre diminue avec la prolifération des locations meublées de tourisme. Le risque est de voir de nombreux logements sortir du marché traditionnel. Ce que vous proposez est donc une première étape pour répertorier toutes ces locations. Quand cela sera mis en place, un rapport pourra-t-il être présenté en commission d’urbanisme.

Pas de réponse à cette question, un élu de la majorité fait remarquer que des locations de résidences engendrent souvent des troubles de voisinage quand des fêtes sont organisées.
Dans le prolongement de la délibération précédente, il nous est précisé que les logements Airbnb sont taxés de façon proportionnelle au tarif avec un plafond. Nous votons ces deux délibérations

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