Augmentation des impots locaux
Au conseil municipal du 26 mars 2009
La décision d'augmenter les impôts locaux de 9 %, en période de crise économique touche de plein fouet les Sévriens. Elle représente une augmentation de 45 à 60 euros par foyer fiscal.
Cette augmentation n'est pas une surprise, elle avait été annoncée lors de la présentation du budget, mais elle vient en complément d'autres augmentations comme celle de 4% décidée par le Conseil général. Et pour Jacques Blandin, aucune amélioration de la qualité de vie des Sévriens ne justifie cette décision : les investissements pour les travaux de la mairie ou ceux de l'école Croix Bosset avaient été déjà budgétés, aucune amélioration des services à la population n'est annoncée. De plus Pascal Giafferi pour le Modem interpelle le Maire sur le refus du gouvernement de suspendre même provisoirement le bouclier fiscal quand « il apparaît totalement injuste socialement et économiquement de favoriser aujourd'hui dans ce contexte si particulier ou des efforts sont demandés à chacun d'entre nous, ceux qui en ont le moins besoin ».
Les élus socialistes et verts votent contre cette décision, les élus du Modem s'abstiennent (voir aussi l'intervention des Verts)
La décision d'augmenter les impôts locaux de 9 %, en période de crise économique touche de plein fouet les Sévriens. Elle représente une augmentation de 45 à 60 euros par foyer fiscal.
Cette augmentation n'est pas une surprise, elle avait été annoncée lors de la présentation du budget, mais elle vient en complément d'autres augmentations comme celle de 4% décidée par le Conseil général. Et pour Jacques Blandin, aucune amélioration de la qualité de vie des Sévriens ne justifie cette décision : les investissements pour les travaux de la mairie ou ceux de l'école Croix Bosset avaient été déjà budgétés, aucune amélioration des services à la population n'est annoncée. De plus Pascal Giafferi pour le Modem interpelle le Maire sur le refus du gouvernement de suspendre même provisoirement le bouclier fiscal quand « il apparaît totalement injuste socialement et économiquement de favoriser aujourd'hui dans ce contexte si particulier ou des efforts sont demandés à chacun d'entre nous, ceux qui en ont le moins besoin ».
Les élus socialistes et verts votent contre cette décision, les élus du Modem s'abstiennent (voir aussi l'intervention des Verts)