Au Conseil municipal du 26 septembre 2019, Requalification de la route départementale 910

Mon collègue fait part de l’inquiétude des sévriens sur l’abattage des arbres, sur les choix pour la circulation difficile du 171, sur le circuit compliqué pour les cyclistes et sur un environnement trop minéral.

Je suis d’accord avec mon collègue, il y a urgence climatique et en ce jour de deuil, je cite Jacques Chirac, « la maison brûle et nous regardons ailleurs ». Je complète en disant que remplacer un arbre mur par un jeune arbre n’est pas équivalent pour la biodiversité. En effet, ce ne sont pas les mêmes animaux qui y vivent. On nous montre une photo digne d’un promoteur immobilier avec plantations d’arbres centenaires. Je répète que je trouve ces arbres trop enfermés et lyrique mais je n’ose pas chanter, je fais référence à la chanson de Maxime Le Forestier « comme un arbre dans la ville ». 

 

Le maire nous sort un vœu « que   le projet soit complété par une étude de perméabilité des sols et qu’il identifie et prévoit des réouvertures au moins partielles à ciel ouvert d’eaux de la vallée du Rû de Marivel ». Le maire souhaite verdir son image, à suivre. Le vœu est voté à l’unanimité.

 

Pour lire le texte de Catherine Candelier, cliquez ici

Submit to FacebookSubmit to Google PlusSubmit to LinkedIn

Rechercher dans le site