Depuis la crise sanitaire l’accroissement de la précarité est visible dans les associations de réinsertion et d’aide alimentaire.
Les Restos du Cœur n’ont jamais accueilli autant de personnes en dificulté.

Les épiceries sociales ou solidaires, relais temporaires permettant aux personnes victimes d’un accident de la vie, de se nourrir correctement le temps nécessaire pour reprendre pied,

elles ont dû faire face :
aux réfugiés de la guerre en Ukraine pour les dépanner le temps d’apprendre le français, de s’intégrer et de s’installer.
aux personnes ayant perdu leur travail, malade ou dans des difficultés temporaires, aux femmes séparées sans qualification ; tous peuvent passer une période avec un souci de moins pour nourrir leurs enfants et revenir à une vie normale .
à certains étudiants pendant le Covid pour passer la période où les petits boulots n’étaient plus possibles.

Le Secours populaire, la Croix rouge, Habitat et Humanisme et d’autres se sont aussi mobilisés.

Sans oublier les particuliers qui logent temporairement les réfugiés ukrainiens ou qui approvisionnent les frigos solidaires ouverts à tous.

Tous les bénévoles de ces associations, mobilisés avec efficacité et dans la bonne humeur ont modifié leur organisation pour répondre à l’accroissement du nombre de bénéficiaires en situation de grande précarité.

Une belle leçon de solidarité.