Chroniques du conseil municipal du 24 novembre 2022

Pas mal d’absent-es en ce conseil de novembre, le Covid frappe encore.

Nous débutons par le vote d’une délibération pour donner le nom « Goéland et Pingouin » à l’école maternelle Croix-Bosset, aboutissement pour nous d’une longue et tumultueuse bataille pour qu’enfin Sèvres dénomme un lieu public en hommage à Yvonne et Roger Hagnauer.

On enchaîne avec un nouveau nom pour l’avenue Félix Bracquemont, en lui ajoutant le prénom de madame (Marie), mais après Félix pour ne pas désorienter la Poste.

 

Le nouveau contrat triennal entre la ville et le département nous donne l’occasion de découvrir que le nouveau bâtiment du 111 rue des Bruyères (disons-le clairement : le bâtiment de la SUM) va voir son coût plus que doublé. Prévu au précédent contrat en 2019 pour un coût de 1,234 million d’euros hors taxes, on passe à 2,78 millions HT. Nous nous étonnons évidemment de l’énorme surcoût, les explications sur la hausse des coûts des travaux, des matériaux, de l’énergie, ne nous suffisent pas. Et comme le nouveau projet ne nous a jamais été présenté, il nous est vraiment difficile de juger de la pertinence de ce choix budgétaire. Enfin, un peu quand même puisque nous remarquons que les exigences énergétiques sont minimales. Restera-t-il assez d’argent dans les caisses municipales pour le fabuleux projet de rénovation du centre-ville ?

 

Nous avons droit à une communication sur la prévention, comme toujours, nous n’avons pas le texte afférent et l’élue en charge du dossier lit son papier comme si elle voulait se débarrasser du sujet. Mais, en gros, la ville co organise des petites opérations surtout en matière de sécurité routière. Nous nous étonnons du silence sur la prévention des violences intra familiales. Mais bonne nouvelle, le conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance va enfin se réunir en janvier après de longues années sans rien.

Une petite modification du budget 2022 nous est présentée, on pose des questions qui restent sans réponse. Nous nous inquiétons que l’adjoint aux finances reste sans voix, comme s’il n’avait pas vraiment étudié le dossier.

Nous allons changer de norme budgétaire en passant à la M57 (comme toutes les collectivités d’ici 2024).

 

Jean suggère que l’ensemble des élu-es puissent bénéficier d’une formation « fresque du climat ». Catherine pose une question sur le devenir des terrains du Centre Technique des Industries de la Fonderie.

Nous attribuons unanimement la perle du conseil à l’adjoint aux finances « l’atelier sur les violences faites aux femmes n’a pas pu avoir lieu faute de combattants »

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