Premier conseil de l’année avec un petit ordre du jour qui nous tiendra une heure pile.

Nous approuvons une nouvelle subvention à un particulier pour isoler sa toiture. Mais le bilan est bien maigre depuis la mise en place de cette aide en 2019 : 12 toits sévriens concernés. Et on nous annonce une modification des aides de GPSO qui va mettre un terme au coup de pouce de la ville.

On poursuit par une communication concernant la mise en oeuvre d’un sursis à statuer sur la parcelle de l’ancien Centre technique des industries de la fonderie et sur celle qui y fait face : en poussant un peu les interrogations, nous apprenons qu’un promoteur avait des visées sur le secteur. Le sursis à statuer va permettre d’attendre l’adoption de nouvelles règles dans le Plan local d’urbanisme intercommunal. Nous espérons que celles-ci favoriseront l’implantation d’activités économiques un peu variées.

Nous reposons la question du traitement de la vacance d’anciens logements dédiés aux instituteurs, propriété de la ville et vides depuis de longues années : le maire nous répond « merci de l’interpellation, on le note ». Bref, le sujet n’a pas l’air de mobiliser, alors que tant de personnes sont en attente de logement.

Catherine propose un voeu pour s’opposer au projet de fermeture de cinq classes dans nos écoles publiques à la prochaine rentrée. Voeu adopté à l’unanimité du conseil.
Jean relaie une question proposée par Lucile concernant les sans-abris.

Anne-Marie interpelle le maire et sa majorité afin que la ville participe à la solidarité internationale en faveur des victimes du séisme en Turquie et en Syrie. Fin de non recevoir, la solidarité internationale relève selon la majorité de l’Etat. Mais pour parer à toute catastrophe planétaire, on nous promet l’inscription de 1.500 euros annuels en faveur de la Croix-Rouge. Tant de générosité nous laisse cois et un peu effrayés.